Témoignage seins/cuisses

Chirurgie : des seins aux cuisses, en passant par le ventre
Témoignage d’Aurore

 
Aurore a été opérée par le docteur Sylvie Amaris : seins, ventre et cuisses… mais aussi paupières.
Témoignage et résultats d’un an d’opérations esthétiques durant le contexte Covid.
 
Avant-Apres-Sylvie Amaris Paris 16 
 
Aurore consulte le docteur Sylvie Amaris en pensant seulement faire des injections pour ses poches sous les yeux…
Mais surprise : il faut en passer par la chirurgie en bloc opératoire.
Après une blépharoplastie des paupières inférieures, elle décide de s’occuper de sa poitrine… puis son ventre… puis ses cuisses.
4 opérations esthétiques réussies… et tout ça en un an, malgré le Coronavirus.
 
 

Comment avez-vous connu le docteur Amaris ?


Par une de mes connaissances avec qui suis allée déjeuner !
Au cours du repas je lui ai demandé comment elle faisait pour paraître 20 ans de moins que son âge ?
J’avais des cernes sous les yeux et je voulais faire quelque chose pour ces poches disgracieuses, mais je ne voulais pas consulter n’importe qui.
Je m’étais renseignée auprès d’autres amies qui me disaient « surtout ne vas pas à tel ou tel endroit ».
Je savais donc où je ne devais pas aller… mais je ne savais pas où aller (rires). Je me disais qu’un jour je tomberai sur le bon médecin !

Comment avez-vous pris rendez-vous avec le docteur Amaris ?Par téléphone, et j’ai eu un rendez-vous sous un délais raisonnable de 15 jours, ce qui m’a paru relativement rapide.

Comment s'est passé la consultation

 
Très bien ! Si je devais résumer en trois mots : clair, net et efficace !
Le diagnostic a été rapide et les explications très claires.
Malgré un moment en salle d’attente…la consultation, elle, a duré une heure : je suis ressortie avec toutes les informations et le tarif de l’intervention chirurgicale.
 
 

Qu'est-ce qui vous a plu dans l'approche du docteur Amaris ?

 
Avec Sylvie la communication est simple et claire. Elle ne tourne pas autour du pot et c’est ça qui m’a aussi mise en confiance.
Ce côté direct peut faire fuir certains patients, mais moi j’aime quand c’est clair
 
 

Mais alors, quel a été le verdict pour vos paupières ?

 
Moi qui pensais avoir des injections, je suis sortie du rendez-vous un peu dépitée…
 
 

Pourquoi ?

Le docteur Amaris m’a expliqué que mes cernes étaient liés à de la graisse sous les yeux et qu’il fallait la retirer. Je ne m’attendais pas à de la chirurgie à proprement dit.Je pensais que j’allais avoir des injections… mais le docteur Amaris m’a dit qu’il ne fallait surtout pas faire ça !J’ai alors demandé un devis et je me suis dit que j’allais réfléchir.Aurore, pourquoi vous êtes-vous enfin décidée pour cette chirurgie des paupières ?Je ne l’ai pas fait tout de suite, il s’est passé 2 ans entre ma consultation et l’opération.Je pouvais atténuer mes cernes avec le maquillage mais j’avais toujours l’air fatiguée et même si je dormais 10 heures par nuit, c’était toujours aussi gonflé sous mes yeux…J’en avais marre d’entendre « tu as l’air fatiguée » ou encore « tu as mauvais mine »…Je voyais que ces poches sous les yeux empiraient, que ma peau s’abimait comme me l’avait dit le docteur Amaris, alors il fallait vraiment faire quelque chose !Ou a eu lieu votre première consultation ?Au cabinet de Compiègne (86 bis rue de Paris).Après cette première consultation, je suis retournée voir le docteur Amaris et j’ai fait des injections pour atténuer mes rides d’amertume.J’étais très satisfaite de mes injections, mais j’avais l’air toujours fatiguée, alors je me suis dit « l’année prochaine je fais les yeux ! ».

 

Ou avez-vous été opérée ?

À Boulogne à la clinique des Princes en ambulatoire. Le personnel y est très compétent et très gentil.
J’étais stressée mais je n’avais pas peur. J’avais confiance en le docteur Amaris et mon intervention en chirurgie des paupières a été rapide. La seule chose peu agréable, c’est que les plaies doivent être cautérisées, alors ça sent le cochon grillé (rires) mais on ne voit rien. On est sous anesthésie locale, et surtout on ne reste pas à l’hôpital !

 

Avez-vous eu d'autres opérations avec le docteur Amaris ?J’en eu 4 au total !J’ai commencé par les paupières en mars 2020, les seins en juin 2020, le ventre en août 2020 et les cuisses en février 2021. C’est beaucoup en un an, mais je faisais des analyses de sang tous les deux mois pour m’assurer que tout allait bien.

 

Pouvez-vous nous parler des autres opérations esthétiques ?Je voulais faire une réduction mammaire depuis très longtemps car j’ai toujours souffert de ma poitrine (110F).J’avais vu un chirurgien à Chantilly il y a dix ans qui ne m’avait vraiment pas convaincu.Comme j’étais contente du résultat de mon opération des paupières et de mes injections avec le docteur Amaris, je l’ai consultée pour les seins. Elle a été catégorique et elle m’a dit que si je touchais aux seins, il faudrait aussi retoucher mon ventre.J’étais totalement contre, mais elle m’a expliqué que la réduction mammaire allait créer un déséquilibre sur ma silhouette et elle avait raison !C’est elle qui a choisit ma taille de bonnet. J’allais passer du 110 F au 95C.Elle savait ce qui m’irait le mieux et je ne voulais pas d’une trop petite poitrine car j’étais habituée à avoir un certain volume depuis mon adolescence. En réfléchissant, je me suis aussi dit que ça pourrait me faire un choc psychologique.J’ai été opérée à Boulogne sous anesthésie générale.Je suis restée plusieurs jours à la clinique et là, ça a été une autre paire de manche !On a des pansements compressifs, des drains, des cicatrices… c’est autre chose que les yeux.Un fois la réduction mammaire faite, j’ai effectivement constaté qu’il y avait un déséquilibre avec mon ventre et j’en ai parlé avec le docteur Amaris pendant les contrôles post-opératoires.Elle m’a ainsi proposé un devis pour le ventre.

 

Jamais deux sans trois dit-on ?Oui j’ai ensuite fait une abdominoplastie.J’avais perdu 25 kilos et mon poids étant stable depuis 2005, il fallait maintenant s’attaquer au petit surplus de peau.Je n’ai pas trop mal vécu cette opération : j’ai porté ma gaine trois mois et j’ai bien suivit les conseils du docteur Amaris.

 

Et puis ... les cuisses Pourquoi ?Le docteur Amaris avait raison pour l’équilibre de la silhouette et j’ai voulu ensuite faire les cuisses.Je voulais que Sylvie me fasse une liposuccion mais au vue de l’état de mes cuisses, à ma perte de poids importante, il fallait une opération esthétique plus lourde.J’ai répondu que je ne voulais plus faire d’opération sous anesthésie générale et finalement j’ai réfléchi dans ma voiture sur le chemin du retour. Arrivée à mon domicile - qui se trouve à 4 minutes du cabinet du docteur Amaris - je l’ai rappelée et je lui ai dit : vous avez raison on fait les cuisses !Par contre, ça a été la plus difficile des 4 opérations car on a fait un lifting des cuisses.J’ai beaucoup souffert. La récupération a été longue et douloureuse. Je ne pouvais pas marcher et j’avais une gaine. J’ai bien mis 6 semaines à récupérer Et puis j’ai fait des œdèmes - ce qui peut arriver - donc le docteur Amaris doit me faire une retouche et elles sont incluses dans le suivit et le tarif initial, à l’exception de l’anesthésie qu’il faut repayer.

Avez-vous bien cicatrisé de cette opération esthétique ?Pour la poitrine, c’est parfait et ce n’est pas creusé. La cicatrisation à bien pris un an.J’ai une petite cicatrice visible sur chaque sein (je cicatrise « violet ») mais franchement, je préfère avoir une cicatrice et avoir des seins plus petits qu’être gênée toute ma vie.Mes amis trouvent que le travail de ma chirurgienne est tout de même impressionnant.

Les soins post-opératoires sont faits par le docteur Amaris elle-même et tout s’est super bien passé.Oui ! Il y a des contraintes derrière une opération de chirurgie esthétique, alors il faut bien faire ses soins post opératoires pour bien optimiser le travail du chirurgien :- bien faire ses changements de pansements- masser les cicatrices tous les soirs- passer de la crème tous les jours- ne pas s’exposer au soleil minimum un an- porter sa gaine pour le ventre minimum 2 mois- porter un soutien-gorge adapté pour les seins… moi, maintenant je suis rodée ! (rires)Quelle serait votre mot de la fin Aurore ?Une croyance débile dit « il faut souffrir pour être belle » j’ajouterai qu’il faut savoir ce que l’on veut ! Quand on a des inconvénients, il faut accepter les contraintes d’une opération de chirurgie esthétique.Le docteur Amaris sait si le résultat sera satisfaisant ou pas. Si elle ne peut pas atteindre votre objectif, elle ne fera pas l’opération.

Si elle considère que la demande de la patiente est ahurissante, elle le lui dira et ne procèdera pas à l’opération. Pour moi c’est un vrai gage de sérieux de la part d’un chirurgien plastique.

Le docteur Amaris répond toujours aux sms. C’est rassurant de savoir que s’il y a un problème post-opératoire, elle est là.
Elle a une vraie éthique. On discute beaucoup avec elle en consultation.
Si elle peut paraître trop directe pour certains, en tout cas, on peut dire qu’elle aime VRAIMENT ses patients.


Propos recueillis par Nelly Portal